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lundi 20 décembre 2021

[EN FIN DE COURSE] Le Trail de Trilport et le Semi-marathon de La Presqu'île

Toujours plus de kilomètres, toujours moins d'alcool ! Je ne pense pas faire de courses d'ici la fin de l'année, ce qui veut dire qu'il est grand temps d'écrire un billet-souvenir des deux dernières échéances de l'automne, à savoir : la première édition du Trail de Trilport, en Seine-et-Marne (7 novembre) et le Semi-marathon de la Presqu'île, à Lège-Cap-Ferret, pas loin de Bordeaux (21 novembre). Du coup, j'ai manqué les Foulées de l'Aéroport à Drancy, une course de 10 km programmée le 28 novembre. Dommage car je l'avais trouvée sympa, il y a deux ans.  

Le trail de Trilport

Ce dimanche matin-là, il faisait plutôt froid et une légère pluie tombait. La température était quand même supportable car, une fois n'est pas coutume, les coureurs de la plus longue distance devaient partir les derniers, à 10h30. C'était sûrement un peu tard pour les plus impatients d'entre nous, mais bien pratique pour ceux qui venaient de loin et qui avaient fait le choix de se pointer déjà prêts à courir. En effet, le contexte sanitaire avait empêché la mise en place d'une consigne et d'un vestiaire, mais on n'avait pas pris en traîtres puisque l'info apparaissait dans le règlement de la course. 


Autre point positif pour les quelques uns qui avaient opté pour les transports en commun : le point de départ était situé juste derrière la gare SNCF. 

Ma hantise dans une course, c'est de me planter dans le parcours, ou de me perdre _ même si tout le monde me dit que c'est impossible. Donc, comme d'habitude, une fois sur la ligne de départ, je me suis mise en quête de gens reconnaissables qui pourraient me servir de points de repères en cas de doute. C'est là que j'ai vu un type en maillot jaune et à la chevelure fournie, dont la tête me disait quelque chose : parfait, j'allais me caler sur lui. Comme il courait déjà beaucoup plus vite que moi, alors qu'il avait vraiment pas l'air de forcer _il tapait même la discussion avec son pote, je me suis que c'était pas le bon plan, mais j'ai essayé de m'accrocher. Au fil des kilomètres, je me suis rendue compte qu'il y avait toujours pas mal d'engouement sur le passage du coureur en jaune : c'était sûrement un mec de Trilport un peu connu dans la ville, la star locale... Puis j'ai continué à les suivre comme je pouvais dans la forêt, si bien qu'à un moment ils ont bien fini par remarquer ma présence. 

Au bout des dix-sept kilomètres, j'étais au bord du gouffre, tandis que mes concurrents-repères continuaient à se raconter mille et une choses, visiblement, en mode jogging du dimanche matin. Dans les derniers mètres, ils m'ont regardée un peu amusée, en mode "elle est encore là, elle ?" et on a tout juste eu le temps d'échanger quelques mots sur la ligne d'arrivée... avant que des groupies ne se jettent sur le maillot jaune. Et pout cause, ils étaient très impatients de faire un selfie avec Luca Papi. Ouais, il s'avère que j'avais pisté sans le savoir une star du monde du trail, ahah. En tous cas, il a l'air d'être un mec simple et sympathique ; voilà qui est appréciable.

  

Ces 17km du trail de Trilport dans la forêt de Montceaux ont constitué ma première course à 0% goudron : c'est une caractéristique assez rare pour être soulignée, et j'espère que les organisateurs la garderont pour les prochaines éditions. 

L'évènement a été rendu possible par l'Athlétique Club Pays de Meaux et par la mairie de Trilport ; l'association Handifun Sport était également présente : merci à eux, ainsi qu'à tous les bénévoles placés sur le bord du chemin. Le parcours était très bien balisé, avec un marquage fort utile des gros obstacles sur les premiers kilomètres. Vraiment, on n'avait pas l'impression d'être sur une "première mouture". C'était aussi une très bonne idée de prendre de le temps de communiquer les informations importantes et le tracé des différentes distances en amont, via la page Facebook ; pour les gens comme moi qui ne sont pas de vrais aventuriers, ça aide pas mal pour s'organiser ! 

Concernant la difficulté de la course, on retiendra qu'il n'y avait pas trop de dénivelé, avec seulement une cote où on avait plutôt intérêt à marcher, et logiquement pas de grosses descentes non plus.  Evidemment, quelques passages étaient boueux _surtout pour ceux qui arrivaient dans les derniers, ahah, mais c'était vraiment très accessible, même sans pompes de trail. D'ailleurs les plus aguerris ont profité de l'occasion pour miser sur la vitesse !   

Prête à embaumer le 613 !

Le semi-marathon de la Presqu'île

Un retour dans la région de Bordeaux, quel qu'il soit, apporte toujours un peu de nostalgie. Du coup, je redoutais de courir en Gironde : déjà, parce que l'impression de retourner dans une autre vie ne colle pas toujours avec le souhait d'aller de l'avant, ensuite parce que ça me poussait à sortir de ma zone de confort et j'ai horreur de ça. Heureusement, je ne partais pas en terre inconnue puisque ma pote Mélina, également inscrite à ce semi-marathon, était disposée à m'accueillir et avait déjà géré le plus gros que ce qui pouvait généré du stress de dernière minute (elle me connaît bien). Genre le retrait du dossard, qu'il est préconisé d'anticiper lors des événements organisés par les Courses de la Presqu'île

Cadeau avec le dossard : un maillot de l'événement très sympa et une jolie bouteille de rosé à laquelle je ne toucherai pas. Si quelqu'un la veut... 

Alors, je ne sais pas trop si Les Courses de la Presqu'île sont un club de course et de randonnée situé au Cap Ferret, ou s'il s'agit d'une association ; si quelqu'un peut m'en dire plus, qu'il n'hésite pas à laisser un commentaire ! En tous cas, ses membres sont à l'origine de trois échéances majeures en Gironde : le Marathon des Villages, les Foulées des Baïnes _une course en partie sur la plage, donc ! et le Semi-marathon de la Presqu'île. Il faut savoir que ce sont vraiment de gros événements. Quand on s'est habitués aux trails où on est 150 sur la ligne de départ, ça fait un peu bizarre de se retrouver dans un vrai village de course avec de la musique et 1700 sportifs accompagnés de leurs supporters qui gravitent autour de soi. L'ambiance était très détendue, et beaucoup avaient choisi de venir courir en équipe. 

Avec Mélina, nous avons fait le choix de courir ensemble un max de temps, bien qu'elle ait une allure plus rapide. Comme il y avait beaucoup de monde, la principale difficulté a été de se trouver une place dans l'interminable peloton qui s'était élancé dans la pinède. Le parcours était relativement plat et presque tout goudronné, puisqu'essentiellement sur piste cyclable. D'ailleurs, même s'il faisait gris et froid, le cadre naturel était bien sympa et donnait envie de le refaire à vélo (mais un autre jour). Après 10km, nous avons été doublées par une mamie super en forme, que nous avons essayé de rattraper, en vain ; nous de l'avons revue qu'à l'arrivée, lorsqu'elle est venue récupérer sa récompense sur le podium, le plus tranquillement du monde. C'est ce qu'on peut appeler une personne inspirante.

   

Par contre, mon téléphone a été marseillais sur ce coup-là : c'était bien 21 km, pour 2h00 !

Les courses de la Presqu'île sont aussi connues pour leur buvette et leur célèbre formule moules-frites, qui remplace fort bien le ravitaillement final. On a longtemps cru ces stands compromis à cause du covid, mais finalement il ont été maintenus pour notre plus grand bonheur. Du coup, une fois n'est pas coutume, on s'est autorisées une bière ! Merci à eux aussi, car c'est du boulot ; d'autant plus que les clients ne sont pas toujours très patients, même le dimanche _ce sont des Bordelais avant tout..! 

Merci aussi et surtout à ma pote Mélina pour son accueil, pour m'avoir fait découvrir cette belle course (je le lui ai déjà dit en vrai), et pour avoir été patiente parce qu'elle aurait pu faire un meilleur chrono si elle ne m'avait pas attendue ! 


vendredi 29 octobre 2021

[EN FIN DE COURSE] Masques et soleil : la Course de la Rentrée - Le Perreux-sur-Marne / le Trail du Soldat de la Marne - Pays de Meaux / Entre Dhuis et Marne - Pomponne

Courir, écrire des conneries (ici-même) et boire de l'alcool sont mes trois anti-stress ; voilà plusieurs années maintenant que j'essaie de me focaliser sur les deux premiers afin de pouvoir éliminer définitivement le troisième. Hormis quelques dérapages, ça fonctionne plutôt bien !

C'est donc avec joie qu'après des mois de restrictions sanitaires, j'ai pu participer à trois courses organisées en Île-de-France, cet automne : la Course de la Rentrée du Perreux-sur-Marne (15km), le Trail du Soldat de la Marne, près de Meaux (30km) et le trail Entre Dhuis et Marne à Thorigny-sur-Marne (22km). 

La Course de la rentrée - Le Perreux sur Marne : la première après bien longtemps ! 

L'événement a eu lieu le 5 septembre dernier, comme son nom pouvait vous le faire deviner. Il était organisé par le comité des fêtes du Perreux sur Marne et par le club Asphalte 94, avec Yoann Kowal pour parrain. L'AFM Téléthon était de la partie : deux enfants, si je ne me trompe pas, ont pu faire le parcours avec nous en joëlette.

Le circuit formait une belle boucle à travers la ville, avec notamment une partie en bord de Marne fort agréable et une belle côte dès le début _vers la mairie, qui nous a bien rappelé que partir trop vite n'est pas toujours la meilleur option. Deux distances étaient proposées aux sportifs : 7,5 km et 15km, avec un parcours commun (mais deux tours à faire pour les 15km) et des départs en décalé. Il faisait beau et chaud ; les coureurs étaient détendus, même les performants : c'était notre premier rendez-vous depuis tellement longtemps, ça se sentait. Tout le monde (ou presque) se sentait d'attaque pour faire un effort et pour garder son masque jusqu'au départ, comme c'est maintenant de rigueur.   

Les 15km de course sur route essentiellement ne m'inquiétaient pas trop, étant assez habituée à cette distance. Le chronomètre était le dernier de mes soucis, comme d'habitude. J'étais plus soucieuse de réussir à m'organiser pour arriver tôt au point de départ, afin de ne pas m'angoisser inutilement sur les aspects pratiques dont j'avais perdu l'habitude. Heureusement, aucun problème de transport, ce jour-là : je suis arrivée à la gare de Neuilly Plaisance assez tôt pour avoir le temps de me repérer. 

Le Perreux vers 7h45...

Un peu avant de départ... 
Les embarcations du club d'aviron étaient de sortie.

Finalement, j'ai bien sué dans les derniers kilomètres : quoi qu'on en dise, dans une course officielle, on essaie toujours de se magner un peu plus que lors de son jogging du week-end. Ou peut-être simplement pensais-je que ce serait plus facile. En tous cas, ça valait le coup de se lever tôt pour venir jusque-là : la ville a l'air bien sympa. On remercie au passage les bénévoles et toutes les personnes chargées de guider les coureurs, de les encourager, de distribuer les t-shirts à la fin ainsi que les barres de céréales... et le masque, bien sûr ! 

Le Trail du Soldat de la Marne - Crégy-lès-Meaux : 30 kilomètres ambiancés

Quinze jours avant l'échéance, je me suis inscrite pour ce trail déjà mythique de 30 km qui me faisait rêver depuis un moment. Il y a deux ans, on m'avait proposé un dossard mais je l'avais refusé, ne me sentant pas prête. Cette fois-ci, j'ai hésité, avant de me dire que quand on a 35 ans et qu'on a la chance de ne pas être blessé, il faut faire gaffe à ne pas trop reporter les défis à l'année suivante. Qui sait où on sera, d'ici là, et dans quel état ? De toute façon, avec un marathon en ligne de mire, autant tenter les longues distances. Oui, même si certains "concurrents" piaffaient sur la ligne de départ, impatients de démarrer ce "petit 30" pour "se remettre en selle", ce trail s'annonçait comme une grande aventure pour d'autres. 

A une semaine du fameux rendez-vous, j'ai commencé à baliser comme avant un examen, et ça, c'était pas bon du tout : la course à pied est par excellence l'activité pour laquelle je ne me mets jamais de pression, d'habitude. Le coup de stress n'a pas eu de conséquences au final, mais il ne faut pas qu'il se reproduise, note pour le marathon de juin prochain. 

Heureusement, toutes les conditions étaient réunies pour que la course se passe bien : quelques jours de temps sec m'ont permis de garder mes chaussures de route habituelles, plus légères que mes pompes de trail. Le voyage très matinal d'Aulnay-sous-Bois s'est passé idéalement, du T4 à la ligne P, en passant par le RER E. Arrivée à Meaux, ç'a été finalement facile de regagner à pieds l'imposant Musée de la Grande Guerre, point de départ du trail. 

La dernière montée à pieds m'a d'ailleurs donné un aperçu de ce à quoi allait ressembler la fin du parcours... si j'y arrivais. Spoiler : oui. 

Retenez que les participants avaient la chance de passer la ligne d'arrivée sur tapis rouge, et sous les applaudissements des bénévoles habillés comme on pouvait l'être au début du XX°siècle. Ici, on n'a pas lésiné sur le spectacle, du début à la fin : majorettes près du sas de départ, cornemuse à mi-parcours, pancartes d'encouragement tout le long du chemin, bénévoles à fond à toutes les intersections... Tous ces à-côtés ce que je considère d'habitude comme des fioritures tape à l'oeil dispensables et agaçantes m'ont beaucoup aidée ce jour-là.  

#jaicouruchezcopé

On dirait un coq, vous ne trouvez pas ?

#parcourspoulet

A Crégy-lès-Meaux, ce 10 octobre à 9h00, il faisait beaucoup plus froid qu'à Aulnay deux heures plus tôt ; sur les premiers mètres, je ne sentais pas mes pieds. La dernière fois que je m'étais autant pelée, c'était en janvier 2020. à la Sagittaire de Sucy-en-Brie. Mais le temps était magnifique, et, une fois lancés, on était tous bien contents qu'il ne fasse pas trop chaud. Mon premier regret est de n'avoir pas pu prendre de photos du cadre champêtre superbe (pour qui aime la campagne), ni du musée. Par chance, un coureur youtubeur a eu la bonne idée d'immortaliser la course avec sa GoPro, nous lui en sommes fort reconnaissants : 

Mon second regret est de n'avoir pas assez profité du moment, de m'être peut-être "trop ménagée" par peur de ne pas finir le parcours, et de n'avoir pas osé doublé certains concurrents parfois. Oui, je sais bien que c'est le principe d'une course que d'essayer de passer devant les gens, mais sur le moment ce n'est pas si simple.  

Au niveau du premier ravitaillement, situé assez tôt dans course, un coureur habitué m'a dit que le parcours sur lequel nous nous étions lancés n'était pas trop difficile _a priori, le circuit de 20 km au départ de Barcy était plus accidenté, donc plus intéressant pour les amateurs de trail. Voilà qui était encourageant. J'avais choisi de ne pas du tout regarder Strava pendant la course, histoire de ne pas me démonter en cas de coup de pompe à mi-parcours, et de faire sans écouteurs pour rester vigilante pendant les passages en forêt et sur les chemins caillouteux. J'ai particulièrement apprécié de retrouver sur quelques mètres ce cher canal de l'Ourcq, qui est devenu un terrain familier. 

Le dernier ravitaillement était placé au 25ème kilomètre, après une traversée du désert, comme le laisse entendre Monsieur What The Run dans sa vidéo, ci-dessus. Mais on était quand même prévenus qu'il était conseillé de faire des réserves jusqu'à notre passage à Barcy (8ème kilomètre). Une fois arrivés là, on savait tous que le plus gros était fait, et qu'on allait atteindre l'objectif. Maintenant que nous étions mêlés aux marcheurs et aux coureurs du 20km, l'ambiance devenait vraiment festive : les rapides ont loupé ça. Je reconnais que j'étais un peu trop fatiguée pour apprécier.

Bravo aux deux coureurs en rouge et vert (Thomas et ... ?) à qui j'ai collé aux basques pendant une bonne partie de la course, et ce jusqu'à la fin ! C'était pas spécialement voulu, j'espère que vous ne vous êtes pas sentis suivis ! 


Mon neveu âgé de cinq ans, qui est actuellement dans sa phase "petits soldats" va certainement apprécier la médaille du finisher.   

La course était organisée par la Communauté d'Agglomération du Pays de Meaux, merci à eux. Les mises à jour régulières du site Internet, avec le détail des tracés, et la page Facebook très active du Trail du Soldat de la Marne nous ont permis de bien nous préparer et d'avoir un aperçu de ce qui allait nous attendre le jour J. 

Entre Dhuis et Marne : le plus beau parcours 

Quinze jours plus tard, rebelotte pour un nouveau trail, au départ de Thorigny-sur-Marne, cette fois-ci. L'événement regroupait moins de monde. Peut-être était-ce une conséquence du marathon de Paris qui avait eu lieu une semaine plus tôt ? Le matin du jour J, il m'a semblé que j'étais tombée dans une course moins "grand public" : visiblement, les gens n'étaient pas tous là pour rigoler. 

Effectivement, beaucoup des 200 coureurs alignés sur le parcours de 22 km étaient partis assez vite _ il y avait le choix entre deux distances : 17 et 22 km. J'ai laissé passer la foule : mon objectif était avant tout de faire mes 22 kilomètres, en marchant le moins possible et en essayant de bien négocier les descentes. En effet, si monter les belles côtes bien visibles sur le tracé ne me faisait pas trop peur, les descendre me filait d'avance le vertige. Finalement je m'en suis tirée sans chute _ mais avec les cuisses qui brûlent, quand même ! Ce qui reste le but du jeu...  

De la poignée de courses que j'ai pu faire depuis deux ans maintenant, Entre Dhuis et Marne a été à la fois la plus exigeante et la plus plaisante. Elle est sans doute moins médiatisée que le Trail du Soldat de la Marne auquel j'étais tentée de la comparer forcément, peut-être plus sobre dans son déroulement mais l'accueil des bénévoles y est tout aussi sympa. Un peu de simplicité ne fait pas de mal, parfois ! Là encore, on apprécie la qualité de la communication, tant sur le site du club organisateur Courir Avec Pomponne que sur la page Facebook de l'événement.

Ce tour de cou fort seyant nous a été offert à l'arrivée.

Il faut savoir que la semaine précédent la compétition, une brutasse de tempête a soufflé sur la Seine-et-Marne, risquant de compromettre les réjouissances. Heureusement, les arbres tombés en travers des chemins ont été ciblés et déblayés hyper rapidement, de façon à ce que la course puisse bien avoir lieu. Merci encore aux organisateurs : si j'étais contente d'avoir, cette fois-ci, opté pour les baskets propres à la gambade en zone fagneuse, à aucun moment je n'ai eu le sentiment d'avoir été en danger, ni même en difficulté, spécifiquement à cause des récentes intempéries. Bien sûr, il fallait être vigilant... comme n'importe quelle personne amenée à se déplacer rapidement en forêt. 

Sur le dernier kilomètre, on a un peu discuté avec un membre (je crois ?) du club organisateur Courir Avec Pomponne, qui m'a dit que tous parmi eux s'efforçaient de préserver le cadre naturel de la superbe forêt des Vallières, dont beaucoup d'entre nous sont devenus définitivement fans à l'issue du trail. 

Entre Dhuis et Marne était aussi et surtout l'occasion de soutenir l'association Enfants Cancers Santé.    


Chapeau à tous ceux qui ont donné de leur temps
 pour concrétiser ces premières courses d'après COVID !  

N'hésitez pas à m'indiquer en commentaire d'éventuelles erreurs, sur les noms des clubs, des associations, des lieux... J'suis pas du coin !