Fish tank est le titre d'un film réalisé par Andrea Arnold en 2009. Dans une cité londonienne, Mia, 15 ans, peine à cohabiter avec sa mère et sa petite sœur, au sommet d'un immeuble tout pourri. Rebelle dans l'âme, incapable de s'adresser à quelqu'un sans le traiter de con, elle ne vit que pour le hip hop, qu'elle pratique aussi bien que le ferait un manche à balai, en s'inspirant de clips visionnés sur Youtube.
Il faut dire que les lieux ne se prêtent pas à d'autres activités, et encore moins à la socialisation ; apparemment virée de son école, et en attente d'une place dans un centre de redressement, Mia passe ses journées à longer les usines, à revisiter la friche industrielle et le périphérique, filmés avec réalisme _mais à la limite du cliché. Seul un marginal, qui a pour richesse un canasson maladif, semble lui manifester un minimum de sympathie.
Un matin, alors que la dure à cuire se lance dans un semblant de danse du ventre tout en préparant son petit déjeuner, ce n'est pas sa peste de petite sœur hystérique qui débarque dans la cuisine, ni sa blondasse d'ado attardée alcoolique de mère, mais ... Connor, le nouveau copain de la mère, bien décidé à squatter l'appart pour un certain temps.
Beau, sympathique, patient et drôle, il n'a de cesse d'encourager les filles dans leurs projets, sous les yeux jaloux de leur mère qui veut garder pour elle seule ce « super coup ». Même Mia l'adopte aussitôt et reconnaît que Connor n'a vraiment rien d'un connard, car il est parfait. Trop parfait...
Un matin, alors que la dure à cuire se lance dans un semblant de danse du ventre tout en préparant son petit déjeuner, ce n'est pas sa peste de petite sœur hystérique qui débarque dans la cuisine, ni sa blondasse d'ado attardée alcoolique de mère, mais ... Connor, le nouveau copain de la mère, bien décidé à squatter l'appart pour un certain temps.
Beau, sympathique, patient et drôle, il n'a de cesse d'encourager les filles dans leurs projets, sous les yeux jaloux de leur mère qui veut garder pour elle seule ce « super coup ». Même Mia l'adopte aussitôt et reconnaît que Connor n'a vraiment rien d'un connard, car il est parfait. Trop parfait...
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